Les méthodes contraceptives réversibles et à longue durée d'action présentent un grand potentiel en tant que solutions pour répondre aux besoins non satisfaits en matière de contraception et aux taux d'abandon importants, en particulier en Afrique subsaharienne. Parmi ces méthodes, l'implant a gagné en popularité en Afrique subsaharienne, alors que l'utilisation des dispositifs intra-utérins (DIU) est restée comparativement faible, en particulier au Burkina Faso. Cette étude vise à évaluer l'évolution de l'utilisation du DIU et de l'implant de 2010 à 2020 et à identifier les facteurs influençant le choix du DIU parmi les utilisatrices de LARC au Burkina Faso.